Le printemps..

Les jours commencent à rallonger - ainsi aura t-on le temps de "plus travailler" pourrait-on nous dire..ou peut-etre de " mieux " . Le temps s'adoucit légèrement, malgré les giboulées de vendredi, mais aussi le calendrier, seul témoin incontestable de notre parcours nous laisse entrevoir quelques timides rayons du soleil qu'on avait laissé dans les valises le 31 août dernier... Très loin bien-sur, avec encore de nombreuses épreuves sur le chemin, mais tout de même..On est déja le 25 mars.. Presque 6 mois dans quelques joursque nous sommes en hypo, et il en reste à peine plus de deux.. Les grandes vacances, un grand nombre d'entre nous les attend avec hâte...même s'il peut se dire au dehors que l'hypo, cru 2005/2006 ne les mérite pas spécialement. Pourquoi ? Manque général de travail. Celui-ci n'est pourtant pas écroulant ( seuls les reports de khôles ou d'heures de cours peuvent charger la semaine, toujours la veille d'un contrôle ou d'un jour overbooké ) c'est peut-être à cause d'un manque de motivation qui s'explique par le découragement ressenti apèrs la remise de copies de versions ( notamment en latin, où les heures passées a tenter de traduire les élégies de Virgile sont bien peu cher payées , même si " la note n'est pas [n]otre salaire! " ) ou autres devoirs. Je ne sais pas si on peut véritablement parler de flemme, ou de mauvaise volonté. Certains tiennent bon.. Mais en général, C'est comme si la classe était à son paroxysme de l'effort, ne pouvait plus donner davantage.. le besoin de vacances - celles de Pâques- est imminent..indispensable pour une coupure.. Mais avant , l'hypo devra donner son dernier soupir, son dernier acte de raisonnement, de lutte avec la mémoire des cours et des leçons dans la semaine de concours blancs qui commence dès vendredi prochain avec la philo...